En moyenne sur Facebook on collectionne 120 "friends", mais il semble que le nombre de vrais amis avec qui on communique fréquemment se réduit à seulement sept de ses amis.
Parmi les utilisateurs de Facebook, qui ont 500 amis, ces chiffres sont un peu plus élevés (16 ou 17) mais montre bien qu'il existe une limite de la sphère de l'intimité.
Ce cercle intérieur ne semble pas s'agrandir nécessairement avec la venue d'outil réseau.
Le vrai cÅ"ur d'un réseau tourne autour d'un petit nombre de contacts. En d'autres termes, cette «mise en réseau» de nos réseaux sociaux ne sert qu'à « diffuser» nos vies au-delà de ce cercle de connaissances intimes.
Cet usage de "broadcast de vie", Sébastien Provencher l'avait repéré il y presque deux ans.
Voir l'article publié hier, Primates sur Facebook sur the Economist, qui discute de ces constats (via Andrès sur Twitter)
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Parmi les utilisateurs de Facebook, qui ont 500 amis, ces chiffres sont un peu plus élevés (16 ou 17) mais montre bien qu'il existe une limite de la sphère de l'intimité.
Ce cercle intérieur ne semble pas s'agrandir nécessairement avec la venue d'outil réseau.
Le vrai cÅ"ur d'un réseau tourne autour d'un petit nombre de contacts. En d'autres termes, cette «mise en réseau» de nos réseaux sociaux ne sert qu'à « diffuser» nos vies au-delà de ce cercle de connaissances intimes.
Cet usage de "broadcast de vie", Sébastien Provencher l'avait repéré il y presque deux ans.
Voir l'article publié hier, Primates sur Facebook sur the Economist, qui discute de ces constats (via Andrès sur Twitter)
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